
Depuis plusieurs mois, les boulets de la pub’ ont trouvé un nouveau concept qui les fait tellement frétiller qu’ils se le refilent les uns aux autres comme une maladie vénérienne : le « lâcher de prénoms ». Ce truc-là a commencé dans les reportages formatés des journaleux-robots de l’audio-visuel (« A sept heures, Georgette commence sa tournée de factrice », texte en voix off à dire évidemment avec le ton insupportable adopté dans tous les formats de type « Chic, aujourd’hui, je serre des méchants au petit matin avec la BAC et je les menotte en calbouze au radiateur ».)
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