Journal de Bord
Abordages
- patrick verroust dans Note
- Sophie K. dans Note
- Patrick Verroust dans Note
- Sophie K. dans Hermès-Paris Station
- Patrick Verroust dans Hermès-Paris Station
Passagers
Étiquettes
30 cm 45T affichistes Ayn Rand bande-dessinée Bernard Benyamin blues boules chanson Christoph Niemann Code d'Esther Cold Stone dédicace Edouard Detaille Edward Hopper Edward S. Curtis exposition Gregory Crewdson Harold Foster Hermès Hohlwein illustration illustrations Jeff Beal Kanjil La Source Vive Léon Spilliaert mariage N.C.Wyeth Noël Peinture photographie Rebelle Rome réveillon Samivel Sophie Koechlin Stéphane Koechlin séries US trucs casse-pieds trucs qui ne servent à rien Un jour je serai libre vinyls XIXe siècle Yohan Perez
Plaisir de découvrir ta dernière création….Les perspectives écrasées distillent un malaise diffus , celui d’un ennui sans fond ….L’horizon démontre, indubitablement, que la terre est plate :)
:D
La mise en scène, du border collie, un tantinet caricaturé, est une trouvaille. Il souligne le caractère autistique et l’ennui qui se dégage de la toile tout en faisant l’effort de regarder vers autrui….Une belle illustration du mal être adolescent….
Ah non, il ne s’agit pas d’ennui du tout, mais de rêvasserie, enfin c’est ce que j’ai voulu faire passer, le rêve d’un jeune garçon face à l’horizon et le réalisme du chien qui le protège en contrepoint. Je ne peins pas l’ennui, en général. Plutôt l’évasion. :)
L’ennui, cet apparent désert de la pensée et des émotions est une porte entre-baillée vers un potentiel de créativité intellectuel et artistique . Le corridor ouvert est un espace de rêvasserie, plus ou moins chimérique dans lequel mature un nouveau rapport au monde qui se traduit ou pas par des actes.
Chez toi, la force créative est telle que tu n’as plus besoin de rêvasser à moins que tu ais une parfaite maîtrise de cet entre deux….Nos perceptions de ton œuvre ne sont pas si éloignées , l’une de l’autre…au fond !
Non, absolument. Mais je rêvasse toujours beaucoup, on ne se refait pas ! :D
Salut Soph’ la grande,
Décidément, ton tableau me turlupine…Je l’aime bien , il me fait réfléchir aux sensations qu’il provoque chez moi.
Le monde , au premier plan est léché comme un parcours de golf, la mer s’est mise à l’unisson comme domptée, il reste juste une petite bande d’herbes sauvages récalcitrantes, au début de la plage. Tes personnages, l’adolescent, le chien, sont plaqués dans ce décor qui n’est pas fait pour être habité. En quelque sorte, ils sont de trop….Prisonniers de ce mode de vie, l’ado rêvasse au delà de l’horizon, le chien lui, se retourne ….Il n’oublie pas sa gamelle !!
:D Les chiens n’oublient jamais ce qui est important, hahaha !
Biz, Patrick.
Salut Soph’
Je ne sais pas si tu as su, il y a eu des jours fériés chômés et d’autres sont à venir….Je te le dis pour ta culture générale , me doutant que tu as bossé…Il y a un joli jeu de balançoire, les impôts sont censés ne pas augmenter mais les jours oeuvrés ,leurs rémunérations versées au profit d’obligations étatiques seraient en augmentation…
L’art de la guerre devient humaniste…Suite aux petites frappes en Syrie, le chef d’état major des armées s’est félicité du succès de l’opération qui fit zéro mort chez l’adversaire , c’est mieux qu’en 14-18 où les soldats furent nivelés , mis au tapis de bombes. Pour la Syrie, les ennemis potentiels contre lesquels nous ne sommes pas en guerre, nuance importante, avaient été , dûment, avertis ce qui leurs auraient permis de désactiver leurs radars sol-air pour éviter un tir accidentel. Si çà tombe, les locaux désaffectés seront rebâtis au titre de l’aide à la reconstruction….Telle est l’alchimie d’une communication militarisée qui va « au but » avec éclat sans toucher personne, et intervient après la victoire du méchant….Scrogneugneu…..Bises à toi et un canon à ta santé !!!
Ouah… :) Bises itou !