Olrik

Tout se mérite !

« Bois sans soif », le premier roman de François Perrin, est enfin sorti. Inutile de vous préciser que je me suis ruée dessus et que j’ai déjà commencé à le humer, ainsi qu’on le fait d’un grand cru. D’abord parce que j’aime François Perrin depuis qu’on s’est rencontrés – virtuellement, puis en vrai – il y a six ans, époque où j’ai commencé à le lire sur le web, puis sur Strictement-Confidentiel. Ensuite parce que j’adore faire du copinage quand mes grands copains (on ne dit plus « amis » depuis FB, c’est dévoyé à donf’) ont du talent. Et lui, il en a un paquet, d’ailleurs Jaenada le dit lui-même très joliment en préface, et Jaenada, c’est pas rien, je te prie de le croire.

« Bois sans soif » (Editions rue Fromentin), ou la vocation du zinc, devant, parfois dessous, et surtout derrière. (PS : Je ne sais pas pourquoi, d’autant que je n’ai pas encore lu le livre, mais je ne peux m’empêcher, soudain, de penser à Jacques Perret et à son « Vent dans les voiles », géniale et si drôle histoire de bar devenu navire une fois baissé le rideau d’acier… Perrin, Perret… Bizarre, bizarre, non ? … Vive le vent.)

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